Liberté, je crie ton NOM partout!

À quand les manifestations? À quand les chemises qui se déchirent et les brassières qui se brûlent?

Ce jour est un jour grave chers amis. Ce matin, que ne fut pas ma stupéfaction de lire, en sirotant mon café latte avec mes biscottis (étant un bon platoïen), en première du Devoir:

"POURQUOI LE DEVOIR N'IRA PAS VOIR THE POLICE"

Quoi? En lisant le journal, une rage intérieure se développe lentement. Voici quelques extraits croustillants:

"Le devoir n'assistera pas ce soir au spectacle que donne à Montréal, la formation The police"

"On nous en a tout simplement refusé l'accès"

Le Devoir s'est fait refuser l'accès puisqu'il s'entête depuis longtemps à ne pas vouloir confondre publicité et information comme dans bien d'autres médias (que nous ne nommerons pas!)

Conne de groupe spectacles Gillet: "Il est plus facile de faire des affaires avec d'autres journaux. Pourquoi est-ce que vous, vous n'annoncez pas la mise en vente des billets de nos différents spectacles."

Tout cela est scandaleux! Je demande la grève générale, il faut tout simplement arrêter tout cela.

Le cognitif

LIBERTÉ, JE CRIS (SIC) TON NOM PARTOUX (SIC)