Madame Petite Douceur : Bonjour (voix douce et charmante)
Madame Petite Douceur : Une boule ou deux boules ?
Madame Petite Douceur : Deux boules, c’est plus cher !
Madame Petite Douceur : J’aime votre manteau. Il me rappelle mon dernier camping rustique
Le vieux-montréalais : De quoi je me mêle …
Madame Petite Douceur : Voilà monsieur !
Le vieux-montréalais : Je voulais pas un cornet. J’ai demandé des TETONS !
«MALAISE»
Musique de fond : «Pas besoin de frapper pour entrer chez moi, Qui que tu sois pousse la porte, Quand tu voudras, il y a une place pour toi…»
Le vieux-montréalais : Bon! Yé où ton gérant?
Madame Petite Douceur : Il est parti à une rencontre de trois heures pour 150$
Le vieux-montréalais : Bon! Je pense qui faut que je m’en aille encore! Personne ne me comprend...
4 commentaires:
J'aimerais reprendre l'histoire du vieux-montréalais sur grand écran.
Plumitif, m'accordes-vous la permission?
Rassurez-vous Yves Desgagné ne sera pas le producteur...
Pourquoi fin de la trilogie? J'aurais aimé une série complète !!!
PS: si denys arcand peut assurer que les aventures du vieux-montréalais seront projetées au prochain festival de Cannes, j'appuie le plumitif pour qu'il cède ses droits!
Ramenez la mésentérique! Le plumitif est un exécrable mysogyne condescendant. Honte à lui.
Fernande Larouche
Fernande,
Je préfère baigner dans la misogynie que plaire à une analphabète qui ne sait pas écrire «misogyne»
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